jeudi 24 janvier 2013

Saori no Shodo

Saori est une élève de Sumire. En plus de vouloir apprendre l'anglais et d'être une chanteuse hors pair (cf. Notre première rencontre au karaoké), Saori fait de la calligraphie.
Et aujourd'hui, elle était à la maison pour nous en mettre plein les yeux. Une heure d'initiation nous attendait. N'étant qu'élève elle-même, elle ne possède pas le talent de Kikuko, la mère de Satsuki (cf. Première découverte de la calligraphie). Mais elle est très douée et passionnée.

Sous ses conseils et suivant ses modèles, on a tous joué du pinceau, avec plus ou moins de talent. Un petit regret, j'aurais aimé apprendre les traits de base. Ceux qui permettent de faire de beaux kanji, qui tendent vers la perfection, et non juste une copie brouillonne. Il y a mille et une technique précise pour faire ces traits de base, et je compte bien les découvrir la prochaine fois que j'en ai l'opportunité.

Le soir, j'ai découvert un autre talent. Celui de Sumire pour la cuisine. Et force est de constater qu'elle est également très douée. Ça faisait longtemps que j'avais pas mangé quelque chose d'aussi délicieux. Un sens des goûts et des saveurs assez impressionnant. Je sais pas comment décrire, tellement c'était bon. Juste un plat parfait. Le même que les sushis au Tsukuji market (cf. Dégustation de sushi a Tokyo) : rien à rajouter, ni à enlever.

Enfin, après dîner, Hikaru et moi avons commencé la construction de la réplique de Fukuoka tower. Plus quand elle sera terminée.

La calligraphie de Saori.

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